부산대학교 도서관

RÉSUMÉ: Bien que le notion de résistance ne soient pas nouvelles dans la recherche sur l'art rupestre concernant les rencontres coloniales interculturelles, cette étude montre comment les multiples fils dela résistance indigène peuvent être explorés à travers une analyse multidisciplinaire de l'art rupestre dans le nord de l'Australie. L'étude explore les intersections entre les motifs « occidentaux » et « traditionnels » dans l'art rupestre près du point d'eau de Yingalarri dans le pays de Wardaman, Territoire du Nord, en analysant les conventions visuelles et les superpositions avec un œil vers des engagements épistémologiques Wardaman avec l'art rupestre et leur expériences de l'occupation coloniale. Ces intersections révèlent d'autres réponses de Wardaman à l'occupation coloniale, y compris la négociation de relations et d'engagements interrégionaux changeants avec le pays ainsi que l'accent continu sur les pratiques artistiques héritées. L'étude explore également le rôle continu que joue l'art rupestre dans la résistance coloniale indigène. Les discussions de Wardaman sur les motifs « occidentaux » documentés lors du projet Earthwatch 1988‐1991 ont fait sortir les peintures du passé, leur donner une signification contemporaine grâce à des liens de parenté et des récits de survie qui remettent en question les efforts coloniaux visant à effacer les affiliations et la propriété foncière des Wardamans. Le document contribue à la compréhension archéologique des liens interrégionaux entre les régions d'art rupestre du nord de l'Australie et présente une discussion nuancée de la production d'art rupestre comme moyen de résistance indigène et de commémoration après l'arrivée des Européens. [ABSTRACT FROM AUTHOR]