부산대학교 도서관

En avril 2023, les annonces gouvernementales concernant la réforme à venir du lycée professionnel remet sur le devant de la scène, de manière quelle que peu maladroite, en suscitant de nombreuses réactions des diverses parties prenantes. Sans détailler le fond de cette réforme, qui n'est pas l'objet de cette recherche, néanmoins la communication orchestrée autour de cette réforme met en exergue les représentations sociales, voire les stéréotypes sur les filières professionnelles et technologiques. Ceci questionne l'image de marque de ces filières. L'image de marque se définit comme un ensemble de représentations affectives et rationnelles en lien avec ladite marque (Décaudin, 1996). Pour résumer, l'image de marque est un concept multidimensionnel dont les modélisations d'Aaker (1994) et de Keller (1993) sont les plus connues. Parmi ses variables, dans le cadre d'une adaptation à notre contexte de formations publiques au sein d'EPLE, nous retrouvons les bénéfices symboliques, l'attitude, les utilisateurs, les acteurs de l'organisation (ici les EPLE) et la communication (Aaker 1994, Keller 1993 , Korchia, 2001). L'adaptation à un contexte de fonction publique est possible et cela a déjà fait l'objet de recherche dans le domaine du management public, notamment un contexte de formation publique Rochette et Peng (2016. L'objectif principal de cette recherche est de se focaliser sur la valorisation des voies technologiques et professionnelles au travers du concept de l'image de marque. Par conséquent, la question de recherche se formule de la manière suivante : par la mobilisation de l'image de marque, de quelles manières les filières technologique et professionnelle peuvent valoriser leur positionnement perçu (en remédiant aux représentations sociales/ stéréotypes) ? Pour l'atteindre, nous avons identifié deux objectifs intermédiaires : ● identification des représentations sociales/ stéréotypes des filières technologique et professionnelle en vue de les déconstruire ; ●