학술논문

Entrepreneurship and Risk Taking.
Document Type
Article
Source
Applied Psychology: An International Review. Jul2009, Vol. 58 Issue 3, p469-487. 19p. 6 Charts, 2 Graphs.
Subject
*ENTREPRENEURSHIP
*INDUSTRIAL management
*RISK management in business
*BUSINESSPEOPLE
*BUSINESS enterprises
*INDUSTRIAL psychology
*APPLIED psychology
*PERFORMANCE standards
*SELF-efficacy
Language
ISSN
0269-994X
Abstract
According to the definition of entrepreneurship and everyday observation, entrepreneurs are perceived as more risk prone than other people. However, laboratory studies do not provide conclusive support for this claim. In our study, three groups of students served as subjects. One group of students did not express any intention of starting up their own business in the near future. The second group consisted of students who had participated in a special course designed for future entrepreneurs. The third group consisted of students or alumni who became entrepreneurs before graduating. In accordance with Knight's claim, we found that actual entrepreneurs revealed the highest, and students who did not express an intention of starting their own business the lowest, level of self-confidence of all groups participating in the experiment. On the other hand, in well-defined risky situations we did not confirm a hypothesis that would-be entrepreneurs or actual entrepreneurs were more risk prone than students with no intention of starting a business. Yet, in naturalistic-business risky situations we found more risky choices among entrepreneurs than among non-entrepreneurs. Conformément à la définition même de l'esprit d'entreprise et à l'observation quotidienne, les entrepreneurs sont perçus comme étant plus enclins que les autres personnes à prendre des risques. Seulement, les recherches expérimentales ne confirment pas de façon définitive cette conception. Notre étude a porté sur trois groupes d'étudiants. L'un des groupes n'avait aucunement l'intention de créer une entreprise dans un avenir prévisible. Le deuxième groupe était composé d'étudiants qui suivaient un cours spécialement destiné aux futurs entrepreneurs. Le troisième groupe rassemblait des étudiants ou d'anciens étudiants qui devinrent entrepreneurs avant d'être diplômés. En accord avec les propositions de Knight, on a constaté que les entrepreneurs étaient ceux qui avaient la plus forte confiance en eux-mêmes et les jeunes qui n'éprouvaient aucune vocation d'entrepreneur la plus faible. D'autre part, face à des situations de risque bien précises, il fut impossible de corroborer l'hypothèse que les aspirants entrepreneurs ou les chefs d'entreprise étaient plus portés sur le risque que les étudiants n'ayant aucunement l'intention de fonder une entreprise. Toutefois, devant des décisions risquées dans des situations concrètes industrielles ou commerciales, on a observé plus de choix aventureux chez les entrepreneurs que chez ceux qui ne l'étaient pas. [ABSTRACT FROM AUTHOR]