학술논문
The impact of different hair‐removal behaviours on the biophysical and biochemical characteristics of female axillary skin.
Document Type
Article
Author
Source
Subject
*HAIR removal
*HAIR growth
*SKIN
*INFLAMMATION
*AXILLA
*INTERLEUKINS
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Language
ISSN
0142-5463
Abstract
Résumé: Objectif: L'impact de l'épilation sur les caractéristiques biophysiques et biochimiques de la peau axillaire humaine n'est pas entièrement compris. Cette étude a examiné l'effet de différentes techniques d'épilation sur les paramètres biophysiques et les concentrations de biomarqueurs inflammatoires clés dans les aisselles de sujets thaïlandais de sexe féminin. Les aisselles ont été épilées par rasage, à la pince ou à la cire. Méthodes: Après une phase de sevrage de 2 semaines sans épilation, les sujets ont subi une évaluation visuelle de l'érythème et de la sécheresse cutanée dans une aisselle (randomisé), puis l'aisselle a été épilée par rasage, à la pince ou à la cire selon l'habitude établie de chaque sujet. L'érythème et la sécheresse ont été évalués à nouveau 30 minutes après l'épilation, et des frottis tampons ont été prélevés dans les aisselles épilées et non épilées et analysés pour détecter les cytokines inflammatoires; puis, après 48 heures, l'érythème, la sécheresse et l'hyperpigmentation post‐inflammatoire (PIHP) ont été évalués dans les aisselles épilées. Des évaluations biophysiques (hydratation cutanée, intégrité de la barrière cutanée, élasticité et rugosité de la peau) ont été réalisées sur les aisselles épilées et non épilées. Résultats: Les trois techniques d'épilation ont entraîné une accentuation de l'érythème axillaire et de la sécheresse de la peau. Le rasage a été associé à un érythème nettement moins important (P < 0,01), mais à une sécheresse cutanée nettement plus importante (P < 0,05) par rapport aux autres techniques 30 min après l'épilation. Aucune différence entre les techniques n'a été observée en ce qui concerne le PIHP ou les paramètres biophysiques. Les concentrations en interleukines IL‐1α IL‐1RA ont augmenté, et la concentration en IL‐8 a diminué après l'épilation par chaque technique. Conclusion: Cette étude est la première à identifier les cytokines principales associées au processus inflammatoire déclenché par l'épilation des aisselles. Une seule épilation n'a pas semblé entraîner de PIHP ou d'autres modifications biophysiques de la peau. [ABSTRACT FROM AUTHOR]