학술논문

Real-time PCR and enzyme-linked fluorescent assay methods for detecting Shiga-toxin-producing Escherichia coli in mincemeat samples.
Document Type
Article
Source
Canadian Journal of Microbiology. Mar2007, Vol. 53 Issue 3, p337-342. 5p. 1 Chart, 2 Graphs.
Subject
*POLYMERASE chain reaction
*DNA polymerases
*ESCHERICHIA coli O157:H7
*FUNGUS-bacterium relationships
*FUNGAL ecophysiology
*BACTERIA
Language
ISSN
0008-4166
Abstract
Le but de ce travail était de comparer la PCR en temps réel et l’essai enzymatique à fluorescence VIDAS ECOLI O157™, disponible commercialement, pour détecter O157 dans la viande hachée. De plus, un examen par PCR de la présence de STEC dans la viande hachée récoltée en Italie est présenté. Des essais PCR en temps réel ciblant les gènes stx et une séquence spécifique de STEC O157 (SILO157, i.e., un petit locus inséré chez STEC O157) ont été réalisés afin de tester leur sensibilité sur des échantillons de viande hachée. Après une nuit d’enrichissement, la présence de cellules STEC pouvaient être clairement détectées dans des échantillons de 25 g contenant 10 cellules bactériennes, alors que l’addition de 5 bactéries donnaient des résultats équivoques par PCR, avec des valeurs de Ct près de la limite de détection de 40 ou plus. Les essais par PCR se sont montrés plus sensibles que l’essai enzymatique à fluorescence disponible commercialement (ELFA-VIDAS ECOLI O157™), dont la limite de détection était de 50 cellules bactériennes/25 g de viande hachée. La fréquence de STEC dans 106 échantillons de viande hachée (bœuf et veau) récoltés de septembre à novembre 2004 à cinq points de vente en Italie, i.e., un point de vente à Arezzo (Toscane, Italie centrale), deux à Mantoue (Lombardie, Italie du Nord) et deux à Bologne (Émilie-Romagne, Italie du Haut-centre) était de moins de 1%. La contamination par les principaux sérogroupes O constituant le problème de santé publique le plus important, soit les groupes O26, O92, O111, O145 et O157, n’a pas été détectée. Cette étude indique que les STEC présents dans ces échantillons ne sont probablement pas pathogènes chez l’humain. [ABSTRACT FROM AUTHOR]