학술논문

Impact of diet-index selection and the digestion of prey hard remains on determining the diet of the Steller sea lion (Eumetopias jubatus).
Document Type
Article
Source
Canadian Journal of Zoology. Jan2007, Vol. 85 Issue 1, p1-15. 14p. 3 Charts, 5 Graphs.
Subject
*STELLER'S sea lion
*EUMETOPIAS
*EARED seals
*SEA lions
*ANIMAL nutrition
*NUTRITION
Language
ISSN
0008-4301
Abstract
Nous avons fourni neuf espèces de proies (n = 7431) à quatre lions de mer de Steller (Eumetopias jubatus (Schreber, 1776)) en captivité au cours de 11 expériences d’alimentation sur une période de 75 jours afin d’évaluer l’efficacité de plusieurs méthodes utilisées pour déterminer le régime alimentaire à partir des restes durs des proies. Les expériences cherchent à simuler des périodes courtes (1–2 jours) et prolongées d’alimentation et proposent des rations journalières monospécifiques et mixtes. Globalement, 25,2% ± 22,2% (moyenne ± ET, étendue 0%–83%) des otolithes ont été retrouvés, mais les taux de récupération varient en fonction de l’espèce (analyse de variance, P = 0,01) et sont en relation directe avec la robustesse des otolithes (R2 = 0,88). Les becs de calmars ont été récupérés à des fréquences plus grandes (moyenne 96%) que les otolithes de toutes les espèces. L’énumération à la fois des otolithes et des autres structures squelettiques (conjointement « les os ») augmente les taux de récupération des espèces d’un facteur moyen de 2 (P < 0,001), atteignant 2,5 chez le hareng (Clupea pallasii Valenciennes in Cuvier and Valenciennes, 1847) et 3–4 chez les salmonidés. L’utilisation des os réduit les différences entre les espèces (P = 0,08), mais leur récupération varie d’un lion de mer à un autre. Les os se répartissent sur un nombre plus élevé de défécations par repas (moyenne 2,9 défécations, étendue 0–5) que les otolithes (moyenne 1,9 défécation, étendue 0–4). Dans trois expériences différentes de régimes mixtes, les indices de reconstitution de la biomasse (BR) fonctionnent mieux que les indices de fréquence d’occurrence pour prédire le régime alimentaire. L’utilisation des facteurs numériques de correction (qui tiennent compte des différences spécifiques de digestion totale des proies) que nous avons obtenu expérimentalement améliore encore plus les estimations de BR, ce qui a pour résultat que l’ensemble des douze comparaisons non pondérées se placent à moins de 5 % (pour les otolithes) et de 12 % (pour les os) des régimes alimentaires réels. [ABSTRACT FROM AUTHOR]